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Jean Cocteau, estampe pour "Jean-Baptiste le mal aimé" d'André Roussin au Théâtre du Vieux Colombier en 1945.

«Quand Paris était une fête…»

Deuxième volet de l’exposition de la collection privée de Jacques Crépineau

Exposition du 15 septembre au 8 octobre 2011 à la Galerie Catherine Houard (15, rue Saint-Benoit)

Exposition du 11 au 29 octobre 2011 à la Galerie Catherine Houard 2 (31, rue Jacob)

Communiqué de presse  « Quand Paris était une fête… »

Carton d’invitation « Quand Paris était une fête… »

Catalogue de l’exposition

D’après M. Larousse, l’Estampe « est une image imprimée, après avoir été gravée sur cuivre ou sur bois« .

Heureusement, les progrès de l’imprimerie ont permis l’impression typographique, la lithographie, l’off-set jusqu’à la sérigraphie

Amoureux passionné de toutes les formes graphiques, Jacques Crépineau, directeur du Théâtre de la Michodière, après avoir dispersé sa collection unique de dessins de théâtre, propose aujourd’hui, une série tout aussi rarissime d’estampes publicitaires décoratives : Belle Epoque, Art Déco, et modernes principalement consacrées à de grands événements, des spectacles, Ballets russes et music-halls, sujets dont il est l’historien.

Les plus grandes signatures d’artistes spécialisés, de peintres reconnus, voisinent avec d’autres oubliés, mais qui ont marqué leur époque ; Jules Cheret à Jean Cocteau, Paul Colin à Jean-Paul Goude, Gruau à J.-D. Van Caulaert, Charles Kiffer à Jean-Michel Folon.

Toutes ces estampes de format environ 60×40 cm sont des découvertes. Beaucoup inconnues et surprenantes par leurs trouvailles et leur invention présentent un panorama fascinant quand « Paris était une fête », reflet de la Ville Lumière qui illuminait le monde par son esprit.

Aperçu des œuvres exposées à la galerie (nous contacter par mail pour connaitre les œuvres disponibles)

Prix sur demande


Jean Cocteau, estampe pour "Jean-Baptiste le mal aimé" d'André Roussin au Théâtre du Vieux Colombier en 1945.
René Vincent, estampe pour "Porto Ramos-Pinto", c. 1925.
Grun, estampe pour "Revue à Poivre" en 1904.
Jules Chéret, estampe pour "La Taverne Olympia" en 1899.
Paul Colin, estampe pour "Tabarin" en 1934.
Charles Kiffer, estampe pour "Paris en joie" avec Maurice Chevalier au Casino de Paris" en 1938.
Michel Gyarmaty, estampe pour "Joséphien Baker est aux Folies Bergères" en 1936.
Jean Carlu, estampe pour "Pépa Bonafé" vers 1926.
Jean-Paul Goude, estampe pour "La Revue" de Roland Petit avec Zizi Jeanmaire au Casino de Paris en 1980-1981.
O'Kley, estampe pour "Folies Légères" Super Revue de Michel Gyarmathy aux Folies-Bergères en 1958.
Paul Colin, estampe pour "Amphitryon" 38ème pièce sur ce thème à la Comédie des Champs-Elysées en 1929.
J. D. Van Caulaert, estampe pour "Féérie de Paris" avec Mistinguett au Casino de Paris, 1937.
Loupot, estampe pour l'Exposition internationale des Arts Décoratifs et industriels modernes, 1925.
Jean-Denis Malclès, estampe pour "L'Hurluberlu" de Jean Anouilh avec Paul Meurisse à la Comédie des Champs-Elysées, 1959.
Estampe pour "La femme et le pantin", film de Julien Duvivier avec Brigitte Bardot, Antonio Vilar et Dario Moreno, 1959.
Sérigraphie pour "Hommage à Diaghielev", costume de Petrouchka, 1970.